Testez vos connaissances sur l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs

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Question 1

Vrai ou faux? Accord relatif la qualite de l'eau dans les grans lacs
Connaissez-vous bien l’AQEGL ? Crédit : CMI
Par Rachel Wyatt, CMI

L’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs (AQEGL ou « l’Accord ») contribue à préserver la qualité de vie des millions de personnes qui vivent, travaillent et se divertissent dans la région des Grands Lacs. Mais connaissez-vous bien l’AQEGL ?

Il est temps de tester vos connaissances à l’aide d’un jeu-questionnaire vrai ou faux! Ne vous inquiétez pas, il ne sera pas noté. Vous pouvez même consulter l’Accord pour trouver la réponse.  

Question 1

Vrai ou faux : Depuis sa première signature en 1972, l’Accord n’a pas été mis à jour.

Answer 1

Correct

Incorrect

La bonne réponse est faux.

L’Accord a été mis à jour cinq fois au cours des 53 dernières années. Le Canada et les États-Unis ont signé pour la première fois l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs en avril 1972. Les deux gouvernements ont négocié un nouvel accord en 1978. Le Canada et les États-Unis ont modifié l’Accord en 1983, en 1987 et, plus récemment, en 2012. 

Question 2

Vrai ou faux : L’Accord est un pacte et non une loi.

Réponse 2

Correct

Incorrect

La bonne réponse est vrai.

L’Accord est effectivement un pacte. En tant que signataires, ou « les Parties », le Canada et les États-Unis sont responsables de la réalisation de leurs engagements à travailler à l’atteinte de leurs objectifs communs, soit les neuf objectifs généraux de l’Accord. L’Accord constitue un cadre de coordination et de coopération entre les deux pays. Toutefois, c’est à chaque pays qu’il revient de mettre en œuvre l’Accord au moyen de ses politiques respectives. Chaque pays prend ses propres mesures, à l’aide d’instruments politiques tels que le Clean Water Act des États-Unis et l’Accord Canada-Ontario, et au moyen de programmes nationaux, étatiques, provinciaux et régionaux, tels que la Great Lakes Restoration Initiative des États-Unis et l’Initiative relative aux écosystèmes d’eau douce du Canada.

Question 3

Vrai ou faux : Des dizaines d’agences contribuent à l’orientation de l’Accord par l’intermédiaire du Comité exécutif des Grands Lacs.

Réponse 3

Correct

Incorrect

La bonne réponse est vrai.

L’AQEGL a donné lieu à l’établissement du Comité exécutif des Grands Lacs (CEGL) pour aider à coordonner et à surveiller les activités ainsi que les programmes visant à atteindre les objectifs de l’Accord. Au nom des Parties, l’US Environmental Protection Agency et l’Agence de l’eau du Canada en assurent la coprésidence et invitent des représentants d’organismes fédéraux, étatiques et provinciaux, d’administrations municipales, de gouvernements tribaux, des Premières Nations et des Métis, d’organismes de gestion des bassins hydrographiques et d’autres organismes publics locaux à siéger en tant que membres.

La Commission mixte internationale (CMI) n’est pas un membre du CEGL, mais un observateur qui assiste aux réunions de ce comité pour se tenir informé et y présenter des comptes rendus sur les récents travaux de la Commission dans les Grands Lacs. Des organisations non gouvernementales peuvent également être reconnues comme observateurs. 

Question 4

Vrai ou faux : L’Accord repose sur une approche de gestion écosystémique pour assurer la qualité de l’eau.

Réponse 4

Correct

Incorrect

La bonne réponse est vrai. 

Grâce à une approche de gestion écosystémique, les mesures prises en vertu de l’Accord tiennent compte de la santé de l’ensemble de l’écosystème – l’air, l’eau, la terre et les organismes vivants, y compris les êtres humains. Par exemple, l’objectif IV stipule que les eaux des Grands Lacs doivent « être à l’abri des polluants en des quantités ou dans des concentrations qui pourraient être nocives pour la santé humaine, la faune ou les organismes aquatiques […] ». Les lacs sont une source d’eau potable pour des millions de personnes et soutiennent une économie régionale de 6 billions de dollars américains, ce qui rend la protection de la santé et du bien-être des personnes, ainsi que de la qualité de l’eau, d’une importance vitale.

Question 5

Vrai ou faux : L’Accord mise sur les niveaux d’eau et les prélèvements d’eau.

Réponse 5

Correct

Incorrect

La bonne réponse est faux. 

L’AQEGL porte sur les questions de qualité de l’eau, et non de quantité d’eau.

Il revient à la CMI de se pencher sur les questions de quantité d’eau dans les Grands Lacs. Au moyen des rapports sur la protection des eaux des Grands Lacs, la CMI examine comment l’utilisation, la gestion et les politiques influent sur les niveaux, les débits et la durabilité de l’approvisionnement en eau des Grands Lacs. La CMI a également élaboré le Plan 2014, conçu à l’origine pour assurer des variations plus naturelles des niveaux d’eau du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent, et entreprend un examen accéléré de la façon dont le plan pourrait traiter des niveaux d’eau extrêmement élevés ou faibles.

Il existe des accords internationaux et nationaux qui portent sur la quantité d’eau dans les Grands Lacs. Le Great Lakes Basin Compact, approuvé par les États des Grands Lacs, a mené à la création de la Commission des Grands Lacs chargée de formuler des recommandations sur la stabilisation du niveau des lacs et la déviation d’eaux vers et depuis le bassin hydrographique, entre autres responsabilités. L’Accord sur les ressources en eau durables du bassin des Grands Lacs et du fleuve Saint-Laurent engage à la coopération et à la collaboration en matière de prélèvements d’eau au niveau des États et des provinces.

Question 6

Vrai ou faux : L’Accord englobe le fleuve Saint-Laurent.

Réponse 6

C’est à la fois vrai et faux! (C’était une question piège.)

L’AQEGL englobe le fleuve Saint-Laurent, mais seulement jusqu’à la frontière internationale. Entre le point le plus à l’est du lac Ontario dans la région des Mille-Îles et les environs de Cornwall, en Ontario, et d’Akwesasne, dans l’État de New York, le fleuve Saint-Laurent constitue la frontière internationale entre le Canada et les États-Unis. Tout en reconnaissant que l’eau des Grands Lacs peut affecter la qualité de l’eau du fleuve Saint-Laurent en aval, l’Accord porte sur la coordination des efforts en matière de qualité de l’eau en amont.

Question 7

Vrai ou faux : La CMI NE rédige PAS le Rapport sur l’état des Grands Lacs (REGL) ni le Rapport d’étape des Parties (REP).

Réponse 7

Correct

Incorrect

La bonne réponse est vrai.

Les gouvernements du Canada et des États-Unis, avec l’appui des membres du CEGL, rédigent le REGL et le REP. Comme son nom l’indique, le REGL donne un aperçu de l’état et des tendances de la santé de l’écosystème des Grands Lacs, sur la base de divers indicateurs. Le REP constitue un résumé des programmes, des politiques et des activités aux niveaux national et binational entrepris pour atteindre les objectifs de l’AQEGL. Ces deux rapports permettent aux Parties d’examiner les progrès réalisés au cours d’une période de trois ans en vue d’atteindre les objectifs de l’AQEGL.

En sa qualité de tierce partie consultative impartiale, la CMI surveille les progrès réalisés par les Parties et formule des recommandations à ce sujet. Tous les trois ans, la CMI produit le rapport d’évaluation triennale des progrès, également connu sous le nom de rapport ETP. Le dernier rapport ETP a détaillé les progrès réalisés entre 2020 et 2022. La prochaine évaluation portera sur la période 2023-2025. 

Question 8

Vrai ou faux : Le public peut aider la CMI à évaluer les progrès réalisés dans le cadre de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs.

Réponse 8

Incorrect

Correct

La bonne réponse est vrai. 

Dans le cadre du rapport ETP, la CMI recueille et fournit un résumé des commentaires du public sur les progrès des Parties. La CMI prépare une série d’engagements virtuels et une enquête pour connaître votre opinion sur la qualité de l’eau des Grands Lacs. 

Les gouvernements canadien et américain publieront le REGL et le REP de 2025 sur binational.net. Nous vous encourageons à lire ces rapports lorsqu’ils seront terminés et à nous faire part de vos commentaires.

Inscrivez-vous dès maintenant pour obtenir des renseignements sur les activités de consultation à venir et les possibilités d’exposer votre point de vue sur la qualité de l’eau des Grands Lacs. Nous aimerions vous entendre.

Dernière page

Félicitations pour avoir réussi le quiz sur l'Accord relatif à la qualité de l'eau des Grands Lacs !

Pour les questions auxquelles vous avez mal répondu, prenez un moment pour consulter les réponses correctes et en apprendre davantage sur l'Accord relatif à la qualité de l'eau des Grands Lacs.

Résultats

Q1 Vrai ou faux : Depuis sa première signature en 1972, l’Accord n’a pas été mis à jour.

Votre réponse : Faux

Exact. L’Accord a été mis à jour cinq fois au cours des 53 dernières années. Le Canada et les États-Unis ont signé pour la première fois l’Accord relatif à la qualité de l’eau des Grands Lacs en avril 1972. Les deux gouvernements ont négocié un nouvel accord en 1978. Le Canada et les États-Unis ont modifié l’Accord en 1983, 1987 et, plus récemment, en 2012. 

Résultats

Q1 Vrai ou faux : Depuis sa première signature en 1972, l’Accord n’a pas été mis à jour.

Votre réponse : Vrai

C'est faux. L’Accord a été mis à jour cinq fois au cours des 53 dernières années. Le Canada et les États-Unis ont signé pour la première fois l’Accord relatif à la qualité de l’eau des Grands Lacs en avril 1972. Les deux gouvernements ont négocié un nouvel accord en 1978. Le Canada et les États-Unis ont modifié l’Accord en 1983, 1987 et, plus récemment, en 2012. 

Q2 Vrai ou faux : L’Accord est un pacte et non une loi.

Votre réponse : Vrai

Exact. L’Accord est effectivement un pacte. En tant que signataires, ou « les Parties », le Canada et les États-Unis sont responsables de la réalisation de leurs engagements à travailler à l’atteinte de leurs objectifs communs, soit les neuf objectifs généraux de l’Accord. L’Accord constitue un cadre de coordination et de coopération entre les deux pays. Toutefois, c’est à chaque pays qu’il revient de mettre en œuvre l’Accord au moyen de ses politiques respectives. Chaque pays prend ses propres mesures, à l’aide d’instruments politiques tels que le Clean Water Act des États-Unis et l’Accord Canada-Ontario, et au moyen de programmes nationaux, étatiques, provinciaux et régionaux, tels que la Great Lakes Restoration Initiative des États-Unis et l’Initiative relative aux écosystèmes d’eau douce du Canada.

Q2 Vrai ou faux : L’Accord est un pacte et non une loi.

Votre réponse : Faux

C’est vrai. L’Accord est effectivement un pacte. En tant que signataires, ou « les Parties », le Canada et les États-Unis sont responsables de la réalisation de leurs engagements à travailler à l’atteinte de leurs objectifs communs, soit les neuf objectifs généraux de l’Accord. L’Accord constitue un cadre de coordination et de coopération entre les deux pays. Toutefois, c’est à chaque pays qu’il revient de mettre en œuvre l’Accord au moyen de ses politiques respectives. Chaque pays prend ses propres mesures, à l’aide d’instruments politiques tels que le Clean Water Act des États-Unis et l’Accord Canada-Ontario, et au moyen de programmes nationaux, étatiques, provinciaux et régionaux, tels que la Great Lakes Restoration Initiative des États-Unis et l’Initiative relative aux écosystèmes d’eau douce du Canada. 

Q3 Vrai ou faux : Des dizaines d’agences contribuent à l’orientation de l’Accord par l’intermédiaire du Comité exécutif des Grands Lacs.

Votre réponse : Vrai

Exact. L’AQEGL a donné lieu à l’établissement du Comité exécutif des Grands Lacs (CEGL) pour aider à coordonner et à surveiller les activités ainsi que les programmes visant à atteindre les objectifs de l’Accord. Au nom des Parties, l’US Environmental Protection Agency et l’Agence de l’eau du Canada en assurent la coprésidence et invitent des représentants d’organismes fédéraux, étatiques et provinciaux, d’administrations municipales, de gouvernements tribaux, des Premières Nations et des Métis, d’organismes de gestion des bassins hydrographiques et d’autres organismes publics locaux à siéger en tant que membres.

La Commission mixte internationale (CMI) n’est pas un membre du CEGL, mais un observateur qui assiste aux réunions de ce comité pour se tenir informé et y présenter des comptes rendus sur les récents travaux de la Commission dans les Grands Lacs. Des organisations non gouvernementales peuvent également être reconnues comme observateurs

Q3 Vrai ou faux : Des dizaines d’agences contribuent à l’orientation de l’Accord par l’intermédiaire du Comité exécutif des Grands Lacs.

Votre réponse : Faux

C’est vrai. L’AQEGL a donné lieu à l’établissement du Comité exécutif des Grands Lacs (CEGL) pour aider à coordonner et à surveiller les activités ainsi que les programmes visant à atteindre les objectifs de l’Accord. Au nom des Parties, l’US Environmental Protection Agency et l’Agence de l’eau du Canada en assurent la coprésidence et invitent des représentants d’organismes fédéraux, étatiques et provinciaux, d’administrations municipales, de gouvernements tribaux, des Premières Nations et des Métis, d’organismes de gestion des bassins hydrographiques et d’autres organismes publics locaux à siéger en tant que membres.

La Commission mixte internationale (CMI) n’est pas un membre du CEGL, mais un observateur qui assiste aux réunions de ce comité pour se tenir informé et y présenter des comptes rendus sur les récents travaux de la Commission dans les Grands Lacs. Des organisations non gouvernementales peuvent également être reconnues comme observateurs.   

Q4 Vrai ou faux : L’Accord repose sur une approche de gestion écosystémique pour assurer la qualité de l’eau.

Votre réponse : Vrai

Exact. Grâce à une approche de gestion écosystémique, les mesures prises en vertu de l’Accord tiennent compte de la santé de l’ensemble de l’écosystème – l’air, l’eau, la terre et les organismes vivants, y compris les êtres humains. Par exemple, l’objectif IV stipule que les eaux des Grands Lacs doivent « être à l’abri des polluants en des quantités ou dans des concentrations qui pourraient être nocives pour la santé humaine, la faune ou les organismes aquatiques […] ». Les lacs sont une source d’eau potable pour des millions de personnes et soutiennent une économie régionale de 6 billions de dollars américains, ce qui rend la protection de la santé et du bien-être des personnes, ainsi que de la qualité de l’eau, d’une importance vitale.

Q4 Vrai ou faux : L’Accord repose sur une approche de gestion écosystémique pour assurer la qualité de l’eau.

Votre réponse : Faux

C’est vrai. Grâce à une approche de gestion écosystémique, les mesures prises en vertu de l’Accord tiennent compte de la santé de l’ensemble de l’écosystème – l’air, l’eau, la terre et les organismes vivants, y compris les êtres humains. Par exemple, l’objectif IV stipule que les eaux des Grands Lacs doivent « être à l’abri des polluants en des quantités ou dans des concentrations qui pourraient être nocives pour la santé humaine, la faune ou les organismes aquatiques […] ». Les lacs sont une source d’eau potable pour des millions de personnes et soutiennent une économie régionale de 6 billions de dollars américains, ce qui rend la protection de la santé et du bien-être des personnes, ainsi que de la qualité de l’eau, d’une importance vitale. 

Q5 Vrai ou faux : L’Accord mise sur les niveaux d’eau et les prélèvements d’eau.

Votre réponse : Faux

Exact. L’AQEGL porte sur les questions de qualité de l’eau, et non de quantité d’eau.

Il revient à la CMI de se pencher sur les questions de quantité d’eau dans les Grands Lacs. Au moyen des rapports sur la protection des eaux des Grands Lacs, la CMI examine comment l’utilisation, la gestion et les politiques influent sur les niveaux, les débits et la durabilité de l’approvisionnement en eau des Grands Lacs. La CMI a également élaboré le Plan 2014, conçu à l’origine pour assurer des variations plus naturelles des niveaux d’eau du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent, et entreprend un examen accéléré de la façon dont le plan pourrait traiter des niveaux d’eau extrêmement élevés ou faibles.

Il existe des accords internationaux et nationaux qui portent sur la quantité d’eau dans les Grands Lacs. Le Great Lakes Basin Compact, approuvé par les États des Grands Lacs, a mené à la création de la Commission des Grands Lacs chargée de formuler des recommandations sur la stabilisation du niveau des lacs et la déviation d’eaux vers et depuis le bassin hydrographique, entre autres responsabilités. L’Accord sur les ressources en eau durables du bassin des Grands Lacs et du fleuve Saint-Laurent engage à la coopération et à la collaboration en matière de prélèvements d’eau au niveau des États et des provinces.

Q5 Vrai ou faux : L’Accord mise sur les niveaux d’eau et les prélèvements d’eau.

Votre réponse : Vrai

C'est faux. L’AQEGL porte sur les questions de qualité de l’eau, et non de quantité d’eau.

Il revient à la CMI de se pencher sur les questions de quantité d’eau dans les Grands Lacs. Au moyen des rapports sur la protection des eaux des Grands Lacs, la CMI examine comment l’utilisation, la gestion et les politiques influent sur les niveaux, les débits et la durabilité de l’approvisionnement en eau des Grands Lacs. La CMI a également élaboré le Plan 2014, conçu à l’origine pour assurer des variations plus naturelles des niveaux d’eau du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent, et entreprend un examen accéléré de la façon dont le plan pourrait traiter des niveaux d’eau extrêmement élevés ou faibles.

Il existe des accords internationaux et nationaux qui portent sur la quantité d’eau dans les Grands Lacs. Le Great Lakes Basin Compact, approuvé par les États des Grands Lacs, a mené à la création de la Commission des Grands Lacs chargée de formuler des recommandations sur la stabilisation du niveau des lacs et la déviation d’eaux vers et depuis le bassin hydrographique, entre autres responsabilités. L’Accord sur les ressources en eau durables du bassin des Grands Lacs et du fleuve Saint-Laurent engage à la coopération et à la collaboration en matière de prélèvements d’eau au niveau des États et des provinces.  

Q6 Vrai ou faux : L’Accord englobe le fleuve Saint-Laurent.

Votre réponse : Faux

C’est à la fois vrai et faux! (C’était une question piège.) L’AQEGL englobe le fleuve Saint-Laurent, mais seulement jusqu’à la frontière internationale. Entre le point le plus à l’est du lac Ontario dans la région des Mille-Îles et les environs de Cornwall, en Ontario, et d’Akwesasne, dans l’État de New York, le fleuve Saint-Laurent constitue la frontière internationale entre le Canada et les États-Unis. Tout en reconnaissant que l’eau des Grands Lacs peut affecter la qualité de l’eau du fleuve Saint-Laurent en aval, l’Accord porte sur la coordination des efforts en matière de qualité de l’eau en amont.

Q6 Vrai ou faux : L’Accord englobe le fleuve Saint-Laurent.

Votre réponse : Vrai

C’est à la fois vrai et faux! (C’était une question piège.) L’AQEGL englobe le fleuve Saint-Laurent, mais seulement jusqu’à la frontière internationale. Entre le point le plus à l’est du lac Ontario dans la région des Mille-Îles et les environs de Cornwall, en Ontario, et d’Akwesasne, dans l’État de New York, le fleuve Saint-Laurent constitue la frontière internationale entre le Canada et les États-Unis. Tout en reconnaissant que l’eau des Grands Lacs peut affecter la qualité de l’eau du fleuve Saint-Laurent en aval, l’Accord porte sur la coordination des efforts en matière de qualité de l’eau en amont.

Q7 Vrai ou faux : La CMI NE rédige PAS le Rapport sur l’état des Grands Lacs (REGL) ni le Rapport d’étape des Parties (REP).

Votre réponse : Vrai

Exact. Les gouvernements du Canada et des États-Unis, avec l’appui des membres du CEGL, rédigent le REGL et le REP. Comme son nom l’indique, le REGL donne un aperçu de l’état et des tendances de la santé de l’écosystème des Grands Lacs, sur la base de divers indicateurs. Le REP constitue un résumé des programmes, des politiques et des activités aux niveaux national et binational entrepris pour atteindre les objectifs de l’AQEGL. Ces deux rapports permettent aux Parties d’examiner les progrès réalisés au cours d’une période de trois ans en vue d’atteindre les objectifs de l’AQEGL. 

En sa qualité de tierce partie consultative impartiale, la CMI surveille les progrès réalisés par les Parties et formule des recommandations à ce sujet. Tous les trois ans, la CMI produit le rapport d’évaluation triennale des progrès, également connu sous le nom de rapport ETP. Le dernier rapport ETP a détaillé les progrès réalisés entre 2020 et 2022. La prochaine évaluation portera sur la période 2023-2025.

Q7 Vrai ou faux : La CMI NE rédige PAS le Rapport sur l’état des Grands Lacs (REGL) ni le Rapport d’étape des Parties (REP).

Votre réponse : Faux

C’est vrai! Les gouvernements du Canada et des États-Unis, avec l’appui des membres du CEGL, rédigent le REGL et le REP. Comme son nom l’indique, le REGL donne un aperçu de l’état et des tendances de la santé de l’écosystème des Grands Lacs, sur la base de divers indicateurs. Le REP constitue un résumé des programmes, des politiques et des activités aux niveaux national et binational entrepris pour atteindre les objectifs de l’AQEGL. Ces deux rapports permettent aux Parties d’examiner les progrès réalisés au cours d’une période de trois ans en vue d’atteindre les objectifs de l’AQEGL.

En sa qualité de tierce partie consultative impartiale, la CMI surveille les progrès réalisés par les Parties et formule des recommandations à ce sujet. Tous les trois ans, la CMI produit le rapport d’évaluation triennale des progrès, également connu sous le nom de rapport ETP. Le dernier rapport ETP a détaillé les progrès réalisés entre 2020 et 2022. La prochaine évaluation portera sur la période 2023-2025. 

Q8 Vrai ou faux : Le public peut aider la CMI à évaluer les progrès réalisés dans le cadre de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs.

Votre réponse : Vrai

Exact. Dans le cadre du rapport ETP, la CMI recueille et fournit un résumé des commentaires du public sur les progrès des Parties. La CMI prépare une série d’engagements virtuels et une enquête pour connaître votre opinion sur la qualité de l’eau des Grands Lacs. 

Les gouvernements canadien et américain publieront le REGL et le REP de 2025 sur binational.net. Nous vous encourageons à lire ces rapports lorsqu’ils seront terminés et à nous faire part de vos commentaires.

Inscrivez-vous dès maintenant pour obtenir des renseignements sur les activités de consultation à venir et les possibilités d’exposer votre point de vue sur la qualité de l’eau des Grands Lacs. Nous aimerions vous entendre.

Q8 Vrai ou faux : Le public peut aider la CMI à évaluer les progrès réalisés dans le cadre de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs.

Votre réponse : Faux

C'est vrai! Dans le cadre du rapport ETP, la CMI recueille et fournit un résumé des commentaires du public sur les progrès des Parties. La CMI prépare une série d’engagements virtuels et une enquête pour connaître votre opinion sur la qualité de l’eau des Grands Lacs. 

Les gouvernements canadien et américain publieront le REGL et le REP de 2025 sur binational.net. Nous vous encourageons à lire ces rapports lorsqu’ils seront terminés et à nous faire part de vos commentaires.

Inscrivez-vous dès maintenant pour obtenir des renseignements sur les activités de consultation à venir et les possibilités d’exposer votre point de vue sur la qualité de l’eau des Grands Lacs. Nous aimerions vous entendre.